Plus d'une centaine de sites bloqués pour la propagande en matière de drogue aux EAU

Le département de lutte contre la drogue de la police de Dubaï a bloqué 118 sites pour la promotion de la drogue.

À l'aide de technologies anti-drogue, les autorités anti-trafic de drogue ont bloqué plus d'une centaine de sites de promotion de la drogue.

Le chef du département, le colonel Aid Mohammed Thani Khareb, a souligné qu'au cours des deux dernières années, les soi-disant patrouilles de police électroniques ont bloqué plus d'une centaine de sites et que, depuis le début de cette année, 18 sites ont été bloqués.

Grâce à l'utilisation de méthodes modernes de contrôle et d'équipements technologiques, le nombre de concessionnaires arrêtés a doublé au cours de la dernière année.

Salameh ibn Galayt Al Muheiri et Aisha Ali ibn Tamim, deux experts du Département central des preuves matérielles, ont déclaré que la police de Dubaï utilisait trois projets intelligents pour la recherche de drogues: le "nez artificiel", le "spectromètre de substances" et le "laboratoire intelligent".

Lors du Forum international sur les drogues, récemment conclu, M. Tamim a déclaré que "Nez artificiel" est un robot capable de reconnaître des drogues en comparant des substances à la base de stupéfiants, psychotropes et explosifs. Le "spectromètre de substances" effectue une analyse spectrale qui permet l'identification de substances. Cette opportunité n'est devenue disponible qu'avec l'avènement de technologies innovantes. L'idée d'un «laboratoire intelligent» repose sur la création de petits laboratoires connectés à distance à un laboratoire médico-légal central. Il est à noter que dans un tel laboratoire, la plupart du temps, des robots sont utilisés, de sorte que l'influence éventuelle du facteur humain est exclue.

Le colonel Khareb a souligné que certains des criminels modifiaient délibérément la composition des stupéfiants afin de faciliter leur importation dans le pays.

L'agent a déclaré que les autorités du trafic de drogue avaient bloqué 18 sites Web utilisés pour la distribution de drogue cette année, tandis que 60 et 40 de ces sites avaient été bloqués en 2017 et 2016, respectivement.